Plamena MangovaPhoto: Marco Borggreve Beethoven : Sonate pour piano nº 30 en Mi Majeur op.109
Schumann :
o Träumerei
o "sans titre", extrait d’Album pour la jeunesse op.68
o 3 Fantasiestücke op.111
Prokofiev : Sonate pour piano nº 2 en ré mineur op.14

Plamena MANGOVA

Une sincérité intacte, une sensibilité à fleur de peau et une puissance intérieure qui fait chanter le clavier.

Plamena Mangova est née en 1980 en Bulgarie. Elle a été l’élève du célèbre Dmitri Bashkirov à l’Ecole supérieure de musique de la Reine Sofia de Madrid, et travaille avec Abdel-Rahman El Bacha à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth en Belgique. Elle a suivi les master-classes de Leon Fleischer, Krystian Zimerman, Rosalyn Tureck et Alicia de Larrocha. Lauréate des Concours internationaux de piano Paloma O’Shea de Santander et Vittorio Gui de Florence, elle remporte le deuxième prix du Concours Reine Elisabeth de Bruxelles en 2007.

Concertiste accomplie, Plamena Mangova joue régulièrement avec les orchestres philharmoniques de Radio France, de la BBC, de Rotterdam, Tokyo, Marseille, Sofia, Pleven, Georges Enescu,du Luxembourg et des Pays-Bas; les orchestres symphoniques de Trondheim, Saint-Pétersbourg, Moscou, Tatarstan, Mulhouse, Taipei, Nouvelle Zélande et de Roumanie; l’Orchestre National de Belgique et l’Orchestre Symphonique Nationalde Lettonie ;avec l’English Chamber Orchestra, le Sinfonia Varsovia, la Staatskapelle de Berlin, l’Orchestre de la RAI de Turin, le Brandenburgisches Staatsorchester de Francfort, l’Orchestre de l’Opéra de Varsovie, l’Orchestre Symphonique de la Radio Nationale Bulgare et l’Orchestre de la Radio de Leipzig; sous la direction de Sir Colin Davis, Myung-Whun Chung, Andrew Davis, Emmanuel Krivine, Walter Weller, Maxim Vengerov, Emil Tabakov, Tadaaki Otaka, Jaap van Zweden, Dmitri Jurowski, Lawrence Foster, Jean-Jacques Kantorow, Karl Heinz Steffens, Gilbert Varga, Jean-Claude Casadesus, Alexander Sladkovsky, Cristian Mandeal, Andris Poga, Jean-Bernard Pommier, Howard Griffiths, Pinchas Steinberg, François-Xavier Roth et Pablo Heras-Casado.

En récital elle se produit à la Philharmonie de Berlin, au BOZAR de Bruxelles, au Suntory Hall de Tokyo, au Kennedy Center de Washington, au Concertgebouw d’Amsterdam, à la Herkulesaal de Munich, à la Beethovenhaus de Bonn, à la Salle Pierre Boulez de Berlin, au Conservatoire Royal de Bruxelles, aux Philharmonic Halls de Vilnius et Riga, au South Bank Center de Londres, au Gewandhaus de Leipzig, au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, à la Philharmonie de St-Petersbourg, à la Philharmonie du Luxembourg, à l’Arsenal de Metz, au Musée Pouchkine de Moscou, au Théâtre du Châtelet, à l’Auditorium du Louvre et au Théâtre des Champs Elysées.

Plamena Mangova est également invitée par les festivals de Verbier, de la Ruhr, de La Folle Journée de Nantes et de Tokyo, La Roque d’Anthéron, Menton, Jérusalem, Santander, Mecklenburg-Vorpommern, Sommets Musicaux de Gstaad, Festival de Radio France Montpellier Occitanie, Festival Rostropovich de Moscou et Bakou, « December Night de Slavostlav Richter »de Moscou, ainsi que des Bach Akademie Stuttgart et du Progetto Martha Argerich Lugano.

En musique de chambre, elle a pour partenaire Augustin Dumay, Mihaela Martin, Jian Wang, Pascal Moragues, Alexei Ogrintchouk, Dmitri Makhtin, Alexandre Kniazev, Sergeï Krilov, Frans Helmerson,et Miguel Da Silva. Elle a également partagé la scène avec Maria Joao Pires et Boris Berezovsky.

Plamena Mangova a enregistré chez Fuga Libera des œuvres de Chostakovitch en solo, ainsi qu’en musique de chambre avec Natalia Prischepenkoet Sebastian Klinger ; de Prokofiev avec Tatiana Samouil ; de Beethoven et Strauss avec l’Orchestre National de Belgique sous la direction deWalterWeller ; ainsi que de Franck et d’Ysaÿe avec Alexandre Kniazev. L’ensemble de sa discographie a été saluée par la presse et a reçu de nombreuses récompenses (Superfonic Prize, Diapason d’Or).

 

La presse en parle :

Un phénomène, il est vrai : elle a la puissance, la couleur, la profondeur et la liberté qui caractérisent les meilleurs – un côté lionne à la Argerich – pétarade ou pétille, lorgne vers le contrepoint de Bach ou s’encanaille. ConcertoNet.com